la Fonction publique journée d’action, le 5 décembre 2024.
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réunie à Pontivy, la CGT tire la sonnette d’alarme dans les collectivités !
- Catégorie : Tous services
Les syndicats CGT des Conseils Départementaux et du Conseil Régional de Bretagne se sont réunis à Pontivy le 14/11/2024 pour y dénoncer publiquement le racket organisé par l'Etat sur l'ensemble de nos collectivités.
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Dans son projet de loi de finance, le gouvernement Barnier a prévu un dispositif inédit de ponction de plus de 100 millions d'euros sur les budgets des 4 Conseils Départementaux et celui de la Région Bretagne.
Retraite progressive
- Catégorie : Tous services
La retraite progressive au conseil départemental.
Avant toute démarche, il vaut mieux s’assurer qu’il n’y a pas d’anomalies dans ton relevé de carrière. Tu dois créer un compte sur le site info-retraite. Si ton relevé n’est pas clair, il faut le mettre à jour.
Pour la CNRACL, demander un RDV au service gestion des retraites du CD 29.
Pour la CARSAT, leur adresser un message ou appeler le 3960.
Pour la MSA, leur adresser un message.
Comment demander ma retraite progressive ?
Il faut au préalable demander un temps partiel sur le logiciel « AZURE AD ».
Tu peux demander entre 50 et 90 %.
Quel montant concrètement ?
Par exemple, la rémunération d’un temps partiel à 80% dans le cadre de la retraite progressive est calculée de la même manière qu’un temps partiel « classique » à savoir 6/7 soit 85,7%.
La pension de retraite est calculée sur la base des trimestres cotisés à la date de début du temps partiel et versée à hauteur de 20%.
Et si mon directeur refuse le temps partiel ou la quotité demandée ?
« La dématérialisation permet à la DRH d’avoir la vision de toutes les demandes et donc d’accompagner les directions dans leurs avis afin que toutes les demandes des agents soient traitées de manière équitable. Enfin, la décision finale appartenant à l’autorité territoriale (en l’occurrence la DRH), les équipes RH sont particulièrement vigilantes à ce que tous les dossiers soient examinés sur la base des mêmes critères. »
(Mail RH)
Les demandes de retraite progressive sont gérées par la DRH et tout refus à une demande peut être contestée à la CAP.
Contact : service gestion des retraites au 02.98.76.20.20
Non, les retraités ne se sont pas goinfrés !
- Catégorie : National international
L’UNION FÉDÉRALE DES RETRAITÉS
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Perte actualisée du pouvoir d'achat !
- Catégorie : National international
La CGT Fonction publique vous transmet la perte de valeur du point d’indice de septembre 2024. Il se vérifie que l’augmentation du point d’indice de 1,5% au 1er juillet 2023 et de 3,5% au 1er juillet 2022 et les 5 points d’indice au 1er janvier 2024 sont totalement insuffisants pour rattraper les pertes subies par les agentes et les agents.
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Jours de carence, une attaque de plus
- Catégorie : Tracts 2024
Les fonctionnaires, boucs émissaires d’un gouvernement qui n’assume pas son incompétence.
Pourquoi des arrêts maladie ?
- La réforme des retraites qui allongent la carrière des agents. Plus on est âgés, plus on risque d’être malades.
- Des fonctionnaires avec une moyenne d’âge plus élevée que dans les entreprises du privé.
- La dégradation des conditions de travail. Il n’y a plus assez d’agents pour faire face aux besoins des services publics.
Pourquoi une meilleure prise en charge des jours de carence dans le privé ?
- Des accords de branche avec les mutuelles pour prendre en charge les 3 jours de carence.
- Aucune prise en compte du jour de carence dans les contrats de prévoyance de la fonction publique.
Quelles seront les conséquences de la mise en place des 3 jours ?
- Risque de diminution des arrêts courts. Plus l’on va au travail en étant malade, plus on tarde à s’arrêter et plus les arrêts vont être longs en définitive.
- Aucune économie réalisée dans ce système d’après des études de l’Insee.
Il faut arrêter avec l’image du fonctionnaire profiteur du système. Nos métiers ne sont plus attractifs, n’en rajoutons pas !
Messieurs et mesdames les élus, rappelez-vous vos applaudissements pendant le COVID envers les agents de l’hôpital public et vos manifestations de soutien envers les enseignants victimes d’agressions. Il faut choisir, héros ou charge inutile ?
Cessez de taper sur les fonctionnaires, nous ne sommes pas des boucs émissaires.
Extension des dispositions du « Ségur ».
- Catégorie : National international
Extension des dispositions du « Ségur ». Courrier de Natacha Pommet, secrétaire générale de la fédération des services publics, au ministre Kasbarian
M. Guillaume KASBARIAN,
Ministre de la Fonction publique,
de la Simplification et de la Transformation de l’action publique
Copie :
Mme Geneviève DARRIEUSSECQ,
Ministre de la Santé et de l’Accès aux soins
M. Paul CHRISTOPHE,
Ministre des Solidarités, de l’Autonomie
et de l’Égalité entre les femmes et les hommes
Objet : Extension des dispositions du « Ségur »
Monsieur le Ministre,
La Fédération CGT des services publics a adressé de nombreux courriers d’alerte sur la situation des agentes et agents de la filière médico-sociale de la Fonction publique territoriale « Oubliés du Ségur » et vous demande d’agir au plus vite afin d’établir une situation d’équité de traitement entre les agents.
Nous interpellons une nouvelle fois suite à l’extension des dispositions du « Ségur » pour les professionnels du social et du médico-social dans le privé.
En effet, à l’instar de l’accord qui a pu être signé et de la publication au Journal officiel (décret n° 2022-1497 du 30 novembre 2022) de l’extension permettant d’attribuer le « Ségur » à tou·tes les salarié·es du secteur social et médico-social du champ privé non lucratif et de la fonction publique hospitalière, nous demandons que ces mêmes dispositions s’appliquent au sein de la fonction publique territoriale.
Il ne serait pas acceptable que les disparités persistent et que seules les négociations locales permettent aux agent·es non couvert·es par le décret de bénéficier d’une revalorisation salariale via l’attribution d’une prime équivalente au CTI.
Car ce sont au total plus de 100 000 agent·es de la filière sociale, médico-sociale, de la petite enfance, des écoles (ce sont des cadres d’emplois de la filière sociale ou médico-sociale), de l’animation et de la filière technique de la fonction publique territoriale qui sont encore exclu·es du bénéfice du CTI :
· Personnels agents des crèches : auxiliaires de puériculture, éducatrices et éducateurs de jeunes
enfants, infirmières-puéricultrices et infirmiers-puériculteurs…
· Personnels agents des écoles : ATSEM, faisant fonction et agent·es techniques…
· Assistant·es familial·es et maternel·les…
· Animatrices et animateurs des centres de loisirs…
· Agents sociaux, personnels administratifs et d’accueil des services sociaux et médico-sociaux…
· Agents sociaux et médico-sociaux non en charge de suivis socio-éducatifs au sein de leur collectivité : assistants sociaux du personnel, psychologues de médecine préventive…
Ainsi, la Fédération CGT des services publics demande que, dès à présent, les dispositions prises dans le secteur privé du social et du médico-social soient transposées dans la fonction publique territoriale.
Nous demandons que le CTI soit versé à l’ensemble des agent·es du secteur remplissant les conditions de cadres d’emplois quels que soient leurs lieux d’exercice au sein de nos collectivités.
Dans cette attente, nous vous adressons, Monsieur le Ministre, nos sincères salutations.
Pour la Fédération CGT des Services publics,
Natacha POMMET, Secrétaire générale
230 000 fonctionnaires augmentés de 6 centimes par mois !
- Catégorie : National international
Rémunération dans la Fonction publique : une indemnité différentielle pour solde de tout compte ?!
Le minimum de traitement des fonctionnaires, fixé à 1 801,74 euros, est aujourd’hui inférieur de 6 centimes au futur montant du smic.
La revalorisation de 2 % du Smic au 1er novembre 2024 portera ce dernier à 1801,80 € bruts mensuels. Le minimum de traitement dans la Fonction publique est actuellement de 1801,74 € bruts mensuels.
Sans discussion aucune, la Direction Générale de l’Administration et de la Fonction publique (DGAFP) a informé les organisations syndicales représentatives des personnels de la Fonction publique (par mail) de l’augmentation de 0,06 € du minimum de traitement au moyen du versement d’une indemnité différentielle.
Création d'une nouvelle ligne supplémentaire sur le bulletin de salaire de : 0,06€
Cette augmentation dérisoire de 0,06€ est lourde de sens pour les services publics et ne peut être reçue que comme une marque de mépris et de provocation par les agents concernés.